Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

jojobosse47

22 mars 2006

re terek

john terek re si cette lecture vous plait laissez un message merci

rentre à son hôtel. Il est déjà 21h, John se couche et dort pratiquement instantanément.

Se réveillant vers 11h du matin il lit le journal, et apprend que le Major Alavhia est

toujours vivant. Il décide de le retrouver. Et se rend au commissariat, le major déplore les dégâts mais il n’y a pas eu de victime. Le major lui donne le peu de renseignements qu’il lui reste sur la disparition du général Tailor. Et lui dit que la mafia japonaise frappe souvent ces temps-ci. Arrivé à son hôtel, John sort du dossier du major Alavhia une photo de Taylor et un billet d’avion comparable à celui que lui a faxé son ami Henry. Sam Taylor avait donc intérêt à ce que personne ne le retrouve. Revenant au fil de ses recherches il part donc pour l’égypte.

John prend ses affaires et sort de l’hôtel de New Delhi, quand il lit que le général Taylor est parti à Alexandrie en Égypte.

John monte dans le premier avion qui l’emmène à Alexandrie et pose le pied sur le sol deux heures plus tard, un peu fatigué il se dirige vers le premier hôtel qu’il trouve.

A moindre coût, cet hôtel lui permet de récupérer un petit peu, puis il décide de se rendre au commissariat pour avoir des renseignements sur Sam Taylor et ses actions militaires ici en égypte.

Il pousse la porte qui le sépare du bureau du chef de la police, celui-ci demande à John de s’asseoir.

Le commissaire Ahmed: »Prenez ce fauteuil, installez-vous, que puis-je pour vous? ».

John expose le souhait de la femme de Taylor, puis le commissaire lui dit: »Le général Taylor est sans doute celui qui nous a rendu le plus de services ici. Sa prestance au combat lui a sans doute valut son grade actuel, il n’est pas si vieux que vous le croyez, je croit qu’il approche les quarante ans, sa base se trouvait à Fayoum dans le sud, mais elle est fermée depuis plus de dix ans, quand a lui il est à la retraite depuis quinze ans ».

John: »oui, sa femme me l’a dit, savez-vous où il peut être en ce moment? ».

Ahmed: »Non je ne puis pas vous aider, par contre vous pouvez compter sur ma collaboration ».

John se retire un peu désappointer, il continue ses recherches à l’hôtel grâce aux nombreux renseignements qu’il a glanés. Puis de plus en plus désappointé il décide d’aller à Fayoum pour enquêter. Le lendemain il prend un vol sur une petite ligne qui l’emmène à un vieil aérodrome presque désaffecté. Arrivé à destination il demande où se trouve la base secrète que dirigeait le général. On le dépose devant une palissade de barbelés, sûrement encore en état de marche. Il se demande si il y a encore quelqu’un à l’intérieur de la base, après en avoir fait le tour à pied, il se retrouve devant la grande entrée, une porte immense et qui doit être électrifiée. Se remémorant des techniques qu’il utilisait étant petit pour rentrer dans les entreprises fermées il se glisse sous la palissade, en touchant les barbelés il produit de grandes étincelles et se trouve projeté de l‘autre côté. La base n’est plus qu’un vestige. John pense qu’il n’avait pas trouvé Taylor en Inde et qu’il ne le trouvera sans doute pas ici. Soudain trois camions de l’armée sortent de la base sans le voir, John marche et entre dans la base par une porte de secours où il est inscrit: »Laboratoire! ».

Il pénètre à l’intérieur du laboratoire grâce à un petit ordinateur de poche qu’il connecte à l’installation de l’entrée. En progressant il voit dans certaines salles des expérience sur des momies, l’Égypte est pleine de surprises, il rentre dans la salle 11, et découvre des documents sur un trafique d’antiquités égyptiennes.

John pose alors son intérêt sur un dossier qui retrace les expériences auxquelles se livraient les scientifiques de la base quand elle fonctionnait encore. Il apprend que certaines pyramides détiennent des secrets de médecine et surtout de destruction de corps humains. Il continue ses recherches, puis un bruit énorme le fait sursauter. Comme si on déplaçait des choses lourdes dans les pièces voisines ? Il ferme en vitesse tous les dossiers qu’il a ouverts et se cache derrière un laboratoire de chimie. Par la porte vitrée qui donne sur le couloir il voit passer deux hommes qui poussent des brancards sur lesquels dorment à tout jamais des momies. Pris de panique il fait tomber un flacon de la table, qui se brise dans un bruit fracassant. Mais personne ne vient. John sort de la pièce quand les deux soldats ont disparus, il prend son temps pour visiter plusieurs bâtiments de la base. Dans l’un d’eux il découvre des sarcophages il voit des dizaines de momies complètement dépenaillées, qui ont sûrement servi à des recherches. John perd un peu le goût à cette vue. Puis il se décide à sortir de la base. Un peu avant le passage qu’il avait pris, il entend deux personnes qui discutent.

Le soldat: »On a retrouvé du verre dans le laboratoire, monsieur Abahri! ».

Abahri: »Fouillez tous les bâtiments, je demanderais aux scientifiques demain s’ils savent quelque chose ».

John se faufile hors du camp en faisant encore des étincelles, puis il rentre à l’hôtel de Fayoum.

Arrivé là-bas il prend un whisky, puis se remémore son intrusion au laboratoire dans la base et décide d’y retourner le lendemain matin.

« Apparemment…» dit-il «…ces statuettes sont ensorcelées ! ».

« Il faudrait que je trouve où se cache notre Taylor. ».

Pour passer le temps il va dans un bar de nuit où il rencontre après quelque whisky une femme du nom de Elena, elle est assez belle mais porte des lunettes pour la vue, elle est originaire de Paris, il discute presque trois heures avec elle, il apprend notamment qu’elle est ici depuis de nombreuses années et que la base de Taylor possède un sous-sol. Elle lui dit également qu’il y a de nombreuses personnes qui disparaissent depuis quelque temps, on ne retrouve d’eux que des vêtement et autres objets. Elle est ici à Fayoum pour ses études archéologiques et qu’il ne faut pas croire aux histoires sur l’égypte. Après avoir bien discuté elle le quitte en lui laissant ses coordonnées. Le lendemain John Terek se rend à la base. Il passe par le trou dans le grillage en faisant des étincelles.

John: »Bon sang de bois…Grmmlbbb! ».

Il passe devant le labo, puis suivant les conseils d’Elena pénètre dans le bâtiment où devrait se trouver l’entrée vers les sous-sols. Après une heure de recherches il ne trouve toujours pas d’entrée, puis il entend du bruit et des voix qui s’approchent, il se glisse alors dans une salle et attend, il attend et tente de ne rien faire tomber cette fois. Apparemment les voix se dirige par ici. Quelques secondes plus tard deux hommes passent à côté de lui sans le voir et disparaissent on ne sait où, John attend quelques minutes puis se rend à l’endroit où les hommes ont disparu. Il remarque une légère fente où il glisse la puce de son petit ordinateur et une porte s’ouvre, il descend avec

un ascenseur au sous-sols mais entendant des voix il tente de remonter mais en vain, il est attrapé par les bras par un soldat de grande taille, il lui glisse un crochet, l’homme tombe et se heurte contre une cloison, John sort son arme et s’en suit une fusillade. John entre dans une salle et les deux hommes qui lui tiraient dessus le suivent en courant, John réussit à les semer et à trouver un endroit où se cacher. Les deux hommes passent par un sas et John réussit à les enfermer. Laissant ces deux adversaires dans leur prison , il continue à fouiller dans les différentes salles où ont lieux les expériences, il commence à comprendre que les gens qui disparaissent mystérieusement sont en fait devenu des momies qui servent à percer le mystère des grandes pyramides. En effet, le seul moyen de pénétrer dans les pyramides est de joncher le sol de momies, après avoir lu plusieurs manuscrit John est prit d’un petit malaise et il commence à parler avec une voix bizarre:

Il se réveille, et contemple le nouveau lieu où il se trouve, les deux gardes arrivent et le regardent terrifiés, ils sont tous les trois enfermés dans une pyramide qu’aucun d’eux ne connaît. John sort son petit ordinateur et scrute les données qu’il a enregistrées. Apparemment il y aurait un passage derrière la lourde pierre qui semble fermer la salle où sont enfermés nos trois compagnons.

Bill: » Je peux faire sauter la pierre, mais nous n‘avons pas beaucoup de poudre, si elle ne saute pas nous n‘aurons qu‘un seul deuxième essai, il ne faudrait pas qu‘on manque notre coup! ».

John regarde encore son petit ordinateur et dit: » il y a un passage qui mène à la chambre de la reine, puis au-dessus, à celle du roi et enfin nous arriverions à la sortie. Nous sommes dans la pyramide d‘Ounas une des dernières construites vers 1300 avant Jésus- Christ».

Bill et Parker les deux soldats mettent en place un dispositif pour faire sauter la porte. Parker allume la mèche et tous se recroquevillent dans un coin de la chambre funéraire, puis la mèche se consume et arrivée à la porte une grande fumée se dégage, la porte de la salle explose, mais le trou qui s’est formé ne paraît pas assez grand pour les laisser sortir, pourtant Bill qui est de petite taille essaye de se faufiler, il passe de l’autre côté.

Bill (dit d’un son caverneux): »Je vais chercher du secours! ».

Durant plusieurs heures Parker et John attendent patiemment, et Bill revient et dit:

« L’issue est bloqué, je vous fait passer un levier et il faut retirer la lourde pierre! ».

John et Parker réussissent à ôter la pierre qui les empêche de passer vers le couloir. Bill les reçoit très chaleureusement et leur dit qu’il n’a pas trouvé la sortie; ils commencent l’inspection de la Pyramide. Des pentes vertigineuses et de nombreuses chambres funéraires empêchent la progression de nos trois compagnons, ils arrivent cependant à la chambre de la Reine. S’arrêtant devant la beauté des hiéroglyphes ils font sauter la porte de la chambre de la reine et parviennent à se glisser de l’autre côté et continu leur marche difficile et délicate à cause des nombreux couloirs. John arrête le groupe et regarde sur son ordinateur portable le chemin.

Computer:Unable to compute! Avaible data insufficient ».Impossible donner éclaircissement. Données insuffisantes.

Mais rien ne fonctionne, Parker sort une gourde et fait boire ses compagnons. La marche reprend et ils arrivent devant trois passages qui montent de façon très pentue. De nombreux insectes les accueillent de façon peu sympathique notamment les araignées. Ils se décident à prendre le passage le plus pentu, mais arrivé à mi-pente Parker dévale la pente en emportant Bill avec lui, John est surprit mais s’accroche aux murs du couloir en s‘aggripant à tout ce qu‘il trouve, de vieilles racines, des anfractuosités et reste bloqué pendant quelques instants. Ces compagnons ont dévalés plusieurs dizaines de mètres et John leur dit: »Ne bougez pas, je sors et revient avec une corde ». Arrivé à la chambre du roi John se retrouve de nouveau coincé par une pierre énorme, ne pouvant la détruire il redescend vers ses compagnons qui l’attendait depuis deux heures.

John: »Il faudrait que vous m’expliquiez comment détruire la pierre ».

Parker: »Nous monterons l’un après l’autre et là-haut nous détruirons la pierre qui nous bloque le passage! ».

John passe alors en tête et ses deux amis le suivent. Arrivé en haut il les aident à se hisser jusqu’à la chambre du roi, ornée elle aussi de magnifiques hiéroglyphes représentant Aton le dieu coiffé d’un disque solaire lors du règne d’Aménophis IV. Parker prépare son explosif et fait sauter la pierre.

Les trois compagnons se retrouvent donc dans un couloir sensé les ramener à la sortie de la pyramide. En effet quelque minutes après ils se retrouvent dehors à l’aire libre et pouvant respirer librement. Parker et Bill congratulent John et tous s’en vont vers Fayoum un peu après avoir trouvé un taxi pour rentrer. Arrivé à son hôtel John reprend tous les documents qu’il a pu glaner durant l’aventure dans la pyramide; il constate que certain détails des photos (les hiéroglyphes)qu’il a pris dans la pyramide, bien qu’un peu floues, retracent l’histoire de l’Égypte vers 1300 avant Jésus-Christ et que durant cette période l’Égypte avait faillit sombrer. Le pouvoir avait été rendu à Aménophis IV qui releva son pays. John se rend à son téléphone et appelle Elena pour lui raconter ses péripéties. Elena lui propose de prendre un verre au bar le soir après son travail. John et Elena se retrouvent au pub de nuit « l’égyptien », après lui avoir raconté son aventure dans la pyramide avec Parker et Bill, Elena l’emmène à son petit appartement et il en profite pour draguer et obtient satisfaction quand Elena l’embrasse, il dorment et font l’amour toute la nuit. Le matin John apprend de nouvelles disparitions grâce au journal, ils décident tous les deux de retourner à la base avec l’aide du commissaire Ahmed qui lui avait proposé ses services. Et ils arrivent à arrêter Sam Taylor et ses hommes grâce à Bill et Parker qui leurs disent où ils se cachent dans la base. La police ayant encerclé celle-ci tous se rendent, sans faire d’histoire.

John et Elena se rendent à New York à l’appartement de John. Après avoir fait l’amour plusieurs fois, fatigué John s’endort, en se réveillant Elena est partie en lui laissant un mot: »Suis rentrer à Fayoum pour le travail, Grosses bises, Elena! ».

John reçoit Sofia dans son petit bureau du 1221 Baker Street, elle le remercie et le paye, plus de trente mille dollars. John décide de retrouver Elena, mais arrivé à Fayoum elle a disparu. Il se rend compte que la base a été détruite, et se rend à Alexandrie voir son ami le commissaire Ahmed qui lui explique que les inventions de Taylor continuent leurs méfaits, John est donc prié de leur venir en aide, et il poursuit son enquête. En se rendant tout d’abord à la pyramide d’Ounas où il retrouve toute une équipe de spéléologues et d’archéologues prête à lui prêté main forte dans son

entreprise. L’équipe commence sa descente dans la pyramide suivit de John et Bill qui indiquent le chemin vers les chambres de la reine et du roi, les archéologues prennent des clichés des hiéroglyphes grâce à de petits ordinateurs ce qui leur permet de

descendre jusqu’à la salle où étaient enfermés John et ses deux compagnons, tout le monde est surpris par la profondeur de la construction, John se met dans un coin et scrute son petit ordinateur où il peut lire qu’ils se trouvent dans un endroit très humide et infesté d’insectes et qu’il reste des chambres inexplorées. Plusieurs fois, quelques uns remontent et redescendent avec du matériel nécessaire.

On commence à douter du fait qu’il y est d’autres couloirs et chambres funéraires, l’expédition est alors annulée. John continu à enquêter et après quelques mois il va en Grèce où il rencontre Clara. Il se rend là-bas pensant qu’il découvrira des secrets sur la disparition des gens suite aux inventions de Taylor. Clara est originaire des îles grecques; John la rencontre en buvant un café à l’hôtel d’Athènes où il est descendu pour son enquête, elle passe à côté de lui et lui souhaite bon appétit. John est là depuis plus de trois jours et se rend aux musées d’Athènes pour instruire sa recherche sur les disparitions. Il continu de boire son café et son jus d’orange. Il se lève et va chercher du pain et un morceau de beurre. Après avoir mangé il lui souhaite bon appétit à son tour. Elle lui propose de venir visiter l’Acropole avec lui. John accepte et retourne à sa chambre au huitième étage, la chaleur étant omniprésente en ce mois d’été il prend une douche et se repose sur son lit et s’endort.

Vers 8h du matin ils se retrouvent devant l’hôtel près à partir.

Clara qui connaît très bien Athènes le précède et l’emmène à travers des ruelles pleines de senteurs de sandwichs grecques et de Pitas au cœur de la capitale grecque.

Il fait très chaud et John lui demande d’arrêter ses détours. Ils passent dans un quartier où de nombreux immigrants vivent, des commerces et des petits magasins forment un quartier très cosmopolite, tous les immigrants stagnent et discutent sous la canicule matinale. Clara lui explique qu’ils sont à un kilomètre de l’Acropole, dans le quartier de La Placa, ancien quartier de la grande ville.

Clara: »Tu veux boire un Ouzo? ».

John: »Qu’est-ce que c’est un Ouzo? ».

Clara: »C’est une boisson comme le pastis, anisée et à quarante degrés, tu peux ajouter de l’eau et cela peu prendre du temps pour la boire! ».

John boit sa boisson anisée avec délectation et remercie Clara de l’emmener à l’Acropole. Arrivé aux pieds de la colline qui attire de nombreux touristes Clara lui propose une boisson servie dans un verre énorme très rafraîchissante. John accepte volontiers, la chaleur étant omniprésente ici, les arbres étant peu ombrageux il fait très chaud au pied de l‘Acropole. Puis ils se rendent au sommet de la colline où John est émerveillé par la tranquillité qui règne et la beauté du Parthénon. Après avoir retrouvé Clara, elle lui propose de rentrer à l’hôtel il fait presque nuit déjà , John accepte volontiers, il est un peu fatigué.

Arrivé à l’hôtel John profite de la piscine où les gens qui s‘y trouvent circule comme ils peuvent à cette hauteur, en effet le bâtiment se situe à plus de dix étages de hauteur et il y a affluence au bar et aux places assises, il regarde le coucher de soleil et l’Acropole qu’il voit depuis la terrasse. Il sort de l’eau et se dirige un peu perdu vers le bar de l’hôtel ou il commande une salade composée de tomates, de pois verts, de fromage grecque au lait de chèvre et le serveur un grecque lui demande de s’asseoir et qu’il le servira un peu après, il doit y avoir du monde à l’hôtel. Le lendemain Clara lui dit qu’elle a apprit un trafique d’antiquités qui se rend d’Athènes au Maroc à Ouarzazate.

John prend l’avion et se rend au Maroc où Clara doit le rejoindre. Arrivé à Casablanca il reprend un petit avion qui l’emmène par dessus les montagnes de l’Atlas et atterri à Ouarzazate, qui est une petite ville du désert Marocain, situé à la frontière avec le Sahara, John enquête et après plusieurs demandes dans les petits bureaux de la ville on lui dit que le trafique a lieu vers le désert. Il part donc avec un homme qui doit se rendre dans un petit village nommé Asmin, dans le sahara. Le soleil matinal réchauffe l’ambiance. Et après le petit déjeuné il se rend à un 4/4 qui les emmènera dans le désert. John le suit le premier jour et se retrouve au milieu du désert où le soir ils campent autour d’un bon feu de bois. Après une nuit agitée par les cailloux sous son dos, John se réveil difficilement, L’homme du nom de Moktar lui dit qu’il s’habituera. John et Moktar reprennent leurs affaires et repartent par les dunes assez vertigineuses où John perd son sang froid et manque d’équilibre, après deux heures de marche ils approchent d’un village du nom de Guimin, Moktar en profite pour demander une jeep, de l’eau, de l’essence, de la nourriture et discute avec un villageois. John en profite pour s’allumer une cigarette et constate qu’il ne lui en reste que quatre. Moktar vient le rechercher et lui propose de monter dans le quatre-quatre et l’emmène loin du village à travers le désert sec et chaud en cette période du mois de décembre. La jeep prend des trajectoires un peu

Chapitre IV.

« Tu te lèves beau dans l’horizon du ciel.

Ô vivant Aton qui vit depuis l’origine.

Quand tu resplendis dans l’horizon de l’est.

Tu remplis chaque pays de ta beauté.

Tu es beau, tu es grand, tu étincelles.

Combien multiples sont tes œuvres… ».

Sam Taylor, je vous envoi comme prévue les statuettes, de la pyramide.

Je ne suis pas d’accord avec vos méthodes mais je suis entièrement avec vous, vos

expériences touchent à leur but je l’éspère, deux de mes hommes sont morts pour vous les rapporter.

Abahri M.

Chapitre III.

Publicité
Publicité
22 mars 2006

si ma lecture vous a plu soyez gzntil de laisser

si ma lecture vous a plu soyez gzntil de laisser un message

17 mars 2006

john terek re

rentre à son hôtel. Il est déjà 21h, John se couche et dort pratiquement instantanément.

Se réveillant vers 11h du matin il lit le journal, et apprend que le Major Alavhia est

toujours vivant. Il décide de le retrouver. Et se rend au commissariat, le major déplore les dégâts mais il n’y a pas eu de victime. Le major lui donne le peu de renseignements qu’il lui reste sur la disparition du général Tailor. Et lui dit que la mafia japonaise frappe souvent ces temps-ci. Arrivé à son hôtel, John sort du dossier du major Alavhia une photo de Taylor et un billet d’avion comparable à celui que lui a faxé son ami Henry. Sam Taylor avait donc intérêt à ce que personne ne le retrouve. Revenant au fil de ses recherches il part donc pour l’égypte.

Chapitre III.

John prend ses affaires et sort de l’hôtel de New Delhi, quand il lit que le général Taylor est parti à Alexandrie en Égypte.

John monte dans le premier avion qui l’emmène à Alexandrie et pose le pied sur le sol deux heures plus tard, un peu fatigué il se dirige vers le premier hôtel qu’il trouve.

A moindre coût, cet hôtel lui permet de récupérer un petit peu, puis il décide de se rendre au commissariat pour avoir des renseignements sur Sam Taylor et ses actions militaires ici en égypte.

Il pousse la porte qui le sépare du bureau du chef de la police, celui-ci demande à John de s’asseoir.

Le commissaire Ahmed: »Prenez ce fauteuil, installez-vous, que puis-je pour vous? ».

John expose le souhait de la femme de Taylor, puis le commissaire lui dit: »Le général Taylor est sans doute celui qui nous a rendu le plus de services ici. Sa prestance au combat lui a sans doute valut son grade actuel, il n’est pas si vieux que vous le croyez, je croit qu’il approche les quarante ans, sa base se trouvait à Fayoum dans le sud, mais elle est fermée depuis plus de dix ans, quand a lui il est à la retraite depuis quinze ans ».

John: »oui, sa femme me l’a dit, savez-vous où il peut être en ce moment? ».

Ahmed: »Non je ne puis pas vous aider, par contre vous pouvez compter sur ma collaboration ».

John se retire un peu désappointer, il continue ses recherches à l’hôtel grâce aux nombreux renseignements qu’il a glanés. Puis de plus en plus désappointé il décide d’aller à Fayoum pour enquêter. Le lendemain il prend un vol sur une petite ligne qui l’emmène à un vieil aérodrome presque désaffecté. Arrivé à destination il demande où se trouve la base secrète que dirigeait le général. On le dépose devant une palissade de barbelés, sûrement encore en état de marche. Il se demande si il y a encore quelqu’un à l’intérieur de la base, après en avoir fait le tour à pied, il se retrouve devant la grande entrée, une porte immense et qui doit être électrifiée. Se remémorant des techniques qu’il utilisait étant petit pour rentrer dans les entreprises fermées il se glisse sous la palissade, en touchant les barbelés il produit de grandes étincelles et se trouve projeté de l‘autre côté. La base n’est plus qu’un vestige. John pense qu’il n’avait pas trouvé Taylor en Inde et qu’il ne le trouvera sans doute pas ici. Soudain trois camions de l’armée sortent de la base sans le voir, John marche et entre dans la base par une porte de secours où il est inscrit: »Laboratoire! ».

Il pénètre à l’intérieur du laboratoire grâce à un petit ordinateur de poche qu’il connecte à l’installation de l’entrée. En progressant il voit dans certaines salles des expérience sur des momies, l’Égypte est pleine de surprises, il rentre dans la salle 11, et découvre des documents sur un trafique d’antiquités égyptiennes.

Sam Taylor, je vous envoi comme prévue les statuettes, de la pyramide.

Je ne suis pas d’accord avec vos méthodes mais je suis entièrement avec vous, vos

expériences touchent à leur but je l’éspère, deux de mes hommes sont morts pour vous les rapporter.

Abahri M.

John pose alors son intérêt sur un dossier qui retrace les expériences auxquelles se livraient les scientifiques de la base quand elle fonctionnait encore. Il apprend que certaines pyramides détiennent des secrets de médecine et surtout de destruction de corps humains. Il continue ses recherches, puis un bruit énorme le fait sursauter. Comme si on déplaçait des choses lourdes dans les pièces voisines ? Il ferme en vitesse tous les dossiers qu’il a ouverts et se cache derrière un laboratoire de chimie. Par la porte vitrée qui donne sur le couloir il voit passer deux hommes qui poussent des brancards sur lesquels dorment à tout jamais des momies. Pris de panique il fait tomber un flacon de la table, qui se brise dans un bruit fracassant. Mais personne ne vient. John sort de la pièce quand les deux soldats ont disparus, il prend son temps pour visiter plusieurs bâtiments de la base. Dans l’un d’eux il découvre des sarcophages il voit des dizaines de momies complètement dépenaillées, qui ont sûrement servi à des recherches. John perd un peu le goût à cette vue. Puis il se décide à sortir de la base. Un peu avant le passage qu’il avait pris, il entend deux personnes qui discutent.

Le soldat: »On a retrouvé du verre dans le laboratoire, monsieur Abahri! ».

Abahri: »Fouillez tous les bâtiments, je demanderais aux scientifiques demain s’ils savent quelque chose ».

John se faufile hors du camp en faisant encore des étincelles, puis il rentre à l’hôtel de Fayoum.

Arrivé là-bas il prend un whisky, puis se remémore son intrusion au laboratoire dans la base et décide d’y retourner le lendemain matin.

« Apparemment…» dit-il «…ces statuettes sont ensorcelées ! ».

« Il faudrait que je trouve où se cache notre Taylor. ».

Pour passer le temps il va dans un bar de nuit où il rencontre après quelque whisky une femme du nom de Elena, elle est assez belle mais porte des lunettes pour la vue, elle est originaire de Paris, il discute presque trois heures avec elle, il apprend notamment qu’elle est ici depuis de nombreuses années et que la base de Taylor possède un sous-sol. Elle lui dit également qu’il y a de nombreuses personnes qui disparaissent depuis quelque temps, on ne retrouve d’eux que des vêtement et autres objets. Elle est ici à Fayoum pour ses études archéologiques et qu’il ne faut pas croire aux histoires sur l’égypte. Après avoir bien discuté elle le quitte en lui laissant ses coordonnées. Le lendemain John Terek se rend à la base. Il passe par le trou dans le grillage en faisant des étincelles.

John: »Bon sang de bois…Grmmlbbb! ».

Il passe devant le labo, puis suivant les conseils d’Elena pénètre dans le bâtiment où devrait se trouver l’entrée vers les sous-sols. Après une heure de recherches il ne trouve toujours pas d’entrée, puis il entend du bruit et des voix qui s’approchent, il se glisse alors dans une salle et attend, il attend et tente de ne rien faire tomber cette fois. Apparemment les voix se dirige par ici. Quelques secondes plus tard deux hommes passent à côté de lui sans le voir et disparaissent on ne sait où, John attend quelques minutes puis se rend à l’endroit où les hommes ont disparu. Il remarque une légère fente où il glisse la puce de son petit ordinateur et une porte s’ouvre, il descend avec

un ascenseur au sous-sols mais entendant des voix il tente de remonter mais en vain, il est attrapé par les bras par un soldat de grande taille, il lui glisse un crochet, l’homme tombe et se heurte contre une cloison, John sort son arme et s’en suit une fusillade. John entre dans une salle et les deux hommes qui lui tiraient dessus le suivent en courant, John réussit à les semer et à trouver un endroit où se cacher. Les deux hommes passent par un sas et John réussit à les enfermer. Laissant ces deux adversaires dans leur prison , il continue à fouiller dans les différentes salles où ont lieux les expériences, il commence à comprendre que les gens qui disparaissent mystérieusement sont en fait devenu des momies qui servent à percer le mystère des grandes pyramides. En effet, le seul moyen de pénétrer dans les pyramides est de joncher le sol de momies, après avoir lu plusieurs manuscrit John est prit d’un petit malaise et il commence à parler avec une voix bizarre:

« Tu te lèves beau dans l’horizon du ciel.

Ô vivant Aton qui vit depuis l’origine.

Quand tu resplendis dans l’horizon de l’est.

Tu remplis chaque pays de ta beauté.

Tu es beau, tu es grand, tu étincelles.

Combien multiples sont tes œuvres… ».

Il se réveille, et contemple le nouveau lieu où il se trouve, les deux gardes arrivent et le regardent terrifiés, ils sont tous les trois enfermés dans une pyramide qu’aucun d’eux ne connaît. John sort son petit ordinateur et scrute les données qu’il a enregistrées. Apparemment il y aurait un passage derrière la lourde pierre qui semble fermer la salle où sont enfermés nos trois compagnons.

Bill: » Je peux faire sauter la pierre, mais nous n‘avons pas beaucoup de poudre, si elle ne saute pas nous n‘aurons qu‘un seul deuxième essai, il ne faudrait pas qu‘on manque notre coup! ».

John regarde encore son petit ordinateur et dit: » il y a un passage qui mène à la chambre de la reine, puis au-dessus, à celle du roi et enfin nous arriverions à la sortie. Nous sommes dans la pyramide d‘Ounas une des dernières construites vers 1300 avant Jésus- Christ».

Bill et Parker les deux soldats mettent en place un dispositif pour faire sauter la porte. Parker allume la mèche et tous se recroquevillent dans un coin de la chambre funéraire, puis la mèche se consume et arrivée à la porte une grande fumée se dégage, la porte de la salle explose, mais le trou qui s’est formé ne paraît pas assez grand pour les laisser sortir, pourtant Bill qui est de petite taille essaye de se faufiler, il passe de l’autre côté.

Bill (dit d’un son caverneux): »Je vais chercher du secours! ».

Durant plusieurs heures Parker et John attendent patiemment, et Bill revient et dit:

« L’issue est bloqué, je vous fait passer un levier et il faut retirer la lourde pierre! ».

John et Parker réussissent à ôter la pierre qui les empêche de passer vers le couloir. Bill les reçoit très chaleureusement et leur dit qu’il n’a pas trouvé la sortie; ils commencent l’inspection de la Pyramide. Des pentes vertigineuses et de nombreuses chambres funéraires empêchent la progression de nos trois compagnons, ils arrivent cependant à la chambre de la Reine. S’arrêtant devant la beauté des hiéroglyphes ils font sauter la porte de la chambre de la reine et parviennent à se glisser de l’autre côté et continu leur marche difficile et délicate à cause des nombreux couloirs. John arrête le groupe et regarde sur son ordinateur portable le chemin.

Computer:Unable to compute! Avaible data insufficient ».Impossible donner éclaircissement. Données insuffisantes.

Mais rien ne fonctionne, Parker sort une gourde et fait boire ses compagnons. La marche reprend et ils arrivent devant trois passages qui montent de façon très pentue. De nombreux insectes les accueillent de façon peu sympathique notamment les araignées. Ils se décident à prendre le passage le plus pentu, mais arrivé à mi-pente Parker dévale la pente en emportant Bill avec lui, John est surprit mais s’accroche aux murs du couloir en s‘aggripant à tout ce qu‘il trouve, de vieilles racines, des anfractuosités et reste bloqué pendant quelques instants. Ces compagnons ont dévalés plusieurs dizaines de mètres et John leur dit: »Ne bougez pas, je sors et revient avec une corde ». Arrivé à la chambre du roi John se retrouve de nouveau coincé par une pierre énorme, ne pouvant la détruire il redescend vers ses compagnons qui l’attendait depuis deux heures.

John: »Il faudrait que vous m’expliquiez comment détruire la pierre ».

Parker: »Nous monterons l’un après l’autre et là-haut nous détruirons la pierre qui nous bloque le passage! ».

John passe alors en tête et ses deux amis le suivent. Arrivé en haut il les aident à se hisser jusqu’à la chambre du roi, ornée elle aussi de magnifiques hiéroglyphes représentant Aton le dieu coiffé d’un disque solaire lors du règne d’Aménophis IV. Parker prépare son explosif et fait sauter la pierre.

Les trois compagnons se retrouvent donc dans un couloir sensé les ramener à la sortie de la pyramide. En effet quelque minutes après ils se retrouvent dehors à l’aire libre et pouvant respirer librement. Parker et Bill congratulent John et tous s’en vont vers Fayoum un peu après avoir trouvé un taxi pour rentrer. Arrivé à son hôtel John reprend tous les documents qu’il a pu glaner durant l’aventure dans la pyramide; il constate que certain détails des photos (les hiéroglyphes)qu’il a pris dans la pyramide, bien qu’un peu floues, retracent l’histoire de l’Égypte vers 1300 avant Jésus-Christ et que durant cette période l’Égypte avait faillit sombrer. Le pouvoir avait été rendu à Aménophis IV qui releva son pays. John se rend à son téléphone et appelle Elena pour lui raconter ses péripéties. Elena lui propose de prendre un verre au bar le soir après son travail. John et Elena se retrouvent au pub de nuit « l’égyptien », après lui avoir raconté son aventure dans la pyramide avec Parker et Bill, Elena l’emmène à son petit appartement et il en profite pour draguer et obtient satisfaction quand Elena l’embrasse, il dorment et font l’amour toute la nuit. Le matin John apprend de nouvelles disparitions grâce au journal, ils décident tous les deux de retourner à la base avec l’aide du commissaire Ahmed qui lui avait proposé ses services. Et ils arrivent à arrêter Sam Taylor et ses hommes grâce à Bill et Parker qui leurs disent où ils se cachent dans la base. La police ayant encerclé celle-ci tous se rendent, sans faire d’histoire.

Chapitre IV.

John et Elena se rendent à New York à l’appartement de John. Après avoir fait l’amour plusieurs fois, fatigué John s’endort, en se réveillant Elena est partie en lui laissant un mot: »Suis rentrer à Fayoum pour le travail, Grosses bises, Elena! ».

John reçoit Sofia dans son petit bureau du 1221 Baker Street, elle le remercie et le paye, plus de trente mille dollars. John décide de retrouver Elena, mais arrivé à Fayoum elle a disparu. Il se rend compte que la base a été détruite, et se rend à Alexandrie voir son ami le commissaire Ahmed qui lui explique que les inventions de Taylor continuent leurs méfaits, John est donc prié de leur venir en aide, et il poursuit son enquête. En se rendant tout d’abord à la pyramide d’Ounas où il retrouve toute une équipe de spéléologues et d’archéologues prête à lui prêté main forte dans son

entreprise. L’équipe commence sa descente dans la pyramide suivit de John et Bill qui indiquent le chemin vers les chambres de la reine et du roi, les archéologues prennent des clichés des hiéroglyphes grâce à de petits ordinateurs ce qui leur permet de

descendre jusqu’à la salle où étaient enfermés John et ses deux compagnons, tout le monde est surpris par la profondeur de la construction, John se met dans un coin et scrute son petit ordinateur où il peut lire qu’ils se trouvent dans un endroit très humide et infesté d’insectes et qu’il reste des chambres inexplorées. Plusieurs fois, quelques uns remontent et redescendent avec du matériel nécessaire.

On commence à douter du fait qu’il y est d’autres couloirs et chambres funéraires, l’expédition est alors annulée. John continu à enquêter et après quelques mois il va en Grèce où il rencontre Clara. Il se rend là-bas pensant qu’il découvrira des secrets sur la disparition des gens suite aux inventions de Taylor. Clara est originaire des îles grecques; John la rencontre en buvant un café à l’hôtel d’Athènes où il est descendu pour son enquête, elle passe à côté de lui et lui souhaite bon appétit. John est là depuis plus de trois jours et se rend aux musées d’Athènes pour instruire sa recherche sur les disparitions. Il continu de boire son café et son jus d’orange. Il se lève et va chercher du pain et un morceau de beurre. Après avoir mangé il lui souhaite bon appétit à son tour. Elle lui propose de venir visiter l’Acropole avec lui. John accepte et retourne à sa chambre au huitième étage, la chaleur étant omniprésente en ce mois d’été il prend une douche et se repose sur son lit et s’endort.

Vers 8h du matin ils se retrouvent devant l’hôtel près à partir.

Clara qui connaît très bien Athènes le précède et l’emmène à travers des ruelles pleines de senteurs de sandwichs grecques et de Pitas au cœur de la capitale grecque.

Il fait très chaud et John lui demande d’arrêter ses détours. Ils passent dans un quartier où de nombreux immigrants vivent, des commerces et des petits magasins forment un quartier très cosmopolite, tous les immigrants stagnent et discutent sous la canicule matinale. Clara lui explique qu’ils sont à un kilomètre de l’Acropole, dans le quartier de La Placa, ancien quartier de la grande ville.

Clara: »Tu veux boire un Ouzo? ».

John: »Qu’est-ce que c’est un Ouzo? ».

Clara: »C’est une boisson comme le pastis, anisée et à quarante degrés, tu peux ajouter de l’eau et cela peu prendre du temps pour la boire! ».

John boit sa boisson anisée avec délectation et remercie Clara de l’emmener à l’Acropole. Arrivé aux pieds de la colline qui attire de nombreux touristes Clara lui propose une boisson servie dans un verre énorme très rafraîchissante. John accepte volontiers, la chaleur étant omniprésente ici, les arbres étant peu ombrageux il fait très chaud au pied de l‘Acropole. Puis ils se rendent au sommet de la colline où John est émerveillé par la tranquillité qui règne et la beauté du Parthénon. Après avoir retrouvé Clara, elle lui propose de rentrer à l’hôtel il fait presque nuit déjà , John accepte volontiers, il est un peu fatigué.

Arrivé à l’hôtel John profite de la piscine où les gens qui s‘y trouvent circule comme ils peuvent à cette hauteur, en effet le bâtiment se situe à plus de dix étages de hauteur et il y a affluence au bar et aux places assises, il regarde le coucher de soleil et l’Acropole qu’il voit depuis la terrasse. Il sort de l’eau et se dirige un peu perdu vers le bar de l’hôtel ou il commande une salade composée de tomates, de pois verts, de fromage grecque au lait de chèvre et le serveur un grecque lui demande de s’asseoir et qu’il le servira un peu après, il doit y avoir du monde à l’hôtel. Le lendemain Clara lui dit qu’elle a apprit un trafique d’antiquités qui se rend d’Athènes au Maroc à Ouarzazate.

John prend l’avion et se rend au Maroc où Clara doit le rejoindre. Arrivé à Casablanca il reprend un petit avion qui l’emmène par dessus les montagnes de l’Atlas et atterri à Ouarzazate, qui est une petite ville du désert Marocain, situé à la frontière avec le Sahara, John enquête et après plusieurs demandes dans les petits bureaux de la ville on lui dit que le trafique a lieu vers le désert. Il part donc avec un homme qui doit se rendre dans un petit village nommé Asmin, dans le sahara. Le soleil matinal réchauffe l’ambiance. Et après le petit déjeuné il se rend à un 4/4 qui les emmènera dans le désert. John le suit le premier jour et se retrouve au milieu du désert où le soir ils campent autour d’un bon feu de bois. Après une nuit agitée par les cailloux sous son dos, John se réveil difficilement, L’homme du nom de Moktar lui dit qu’il s’habituera. John et Moktar reprennent leurs affaires et repartent par les dunes assez vertigineuses où John perd son sang froid et manque d’équilibre, après deux heures de marche ils approchent d’un village du nom de Guimin, Moktar en profite pour demander une jeep, de l’eau, de l’essence, de la nourriture et discute avec un villageois. John en profite pour s’allumer une cigarette et constate qu’il ne lui en reste que quatre. Moktar vient le rechercher et lui propose de monter dans le quatre-quatre et l’emmène loin du village à travers le désert sec et chaud en cette période du mois de décembre. La jeep prend des trajectoires un peu

17 mars 2006

salut les gars

salut les gars alors si vous voulez avoir la suite de john terek rendez-vous sur acdc47blog

Publicité
Publicité
jojobosse47
Publicité
Publicité